Résoudre le Rubik’s cube

La résolution du Rubik’s Cube commence par la constitution de la croix blanche, une étape cruciale qui pose les bases du processus complet. Les solveurs chevronnés commencent par aligner les arêtes blanches de manière à former une croix sur la face supérieure, tout en veillant à ce que les couleurs adjacentes correspondent harmonieusement. Chaque mouvement est calculé avec précision, suivant une séquence d’algorithmes qui, avec le temps, deviennent presque instinctifs. La constitution de la croix blanche devient ainsi une initiation rythmée, mêlant habileté visuelle et résolution méthodique, offrant un avant-goût de la gratification ultime à venir lors de la résolution totale du Rubik’s Cube.

Les algorithmes se concentre principalement sur la manipulation des arêtes. Des séquences de rotations telles que F,R,U,R’,U’ sont couramment utilisées. Ici F représente une rotation, de la face avant dans le sens horaire, R est une rotation de la face droite, et U est une rotation de la face supérieure. L’objectif est d’aligner les couleurs des arêtes avec le centre correspondant ce qui permet de gagner du temps pour la prochaine étapes.

2- Étape : Placer les coins de la 1er couche

L’objectif est de pivoter et orienter les coins pour compléter la première couche, Les algorithmes spécifiques sont utilisés pour déplacer les coins tout en préservant la dispositions correcte des arrêtes.

Les algorithmes impliquent souvent des rotations de la face supérieure (U), de la droite (R), et parfois de la face avant (F), L’algorithme visant à orienter les coins correctement peut comprendre une séquence de mouvements tels que U,R,U’,L’,U,R’,U’,L, ou U représente une rotation de la face supérieure dans le sens horaire et U’ dans le sens anti-horaire.

3 – Placer les arêtes de la 2ièmes couches

Toujours dans la même optique de placer les arêtes latéral de la 2ièmes couches sans perturber les étapes précédentes.

Les mouvements clef consistent souvent en une combinaison de rotations de la face supérieur (U), de la face avant (F), et parfois de la face droite. (R).

4 – La croix de la couche supérieur

La résolution de la croix jaune du Rubik’s Cube implique l’utilisation d’algorithmes spécifiques pour orienter correctement les arêtes jaunes vers le haut. Un algorithme communément utilisé à cette étape est l’algorithme de la croix jaune simple (Yellow Cross). Ce processus débute souvent en plaçant deux arêtes jaunes opposées l’une à l’autre, créant une ligne jaune sur la face supérieure. Ensuite, l’algorithme est appliqué pour positionner les deux autres arêtes jaunes adjacentes à la première paire, formant ainsi la croix jaune complète.

L’algorithme de la croix jaune simple peut être noté de manière abrégée avec des notations telles que F (Front), U (Upper), R (Right), etc. Par exemple, un algorithme commun pour orienter une paire d’arêtes adjacentes est F U R U’ R’ F’, où les lettres indiquent les rotations nécessaires. Les lettres suivies d’une apostrophe représentent une rotation dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Ces séquences d’algorithmes sont appliquées de manière itérative jusqu’à ce que la croix jaune soit correctement orientée.

La précision dans l’exécution de ces algorithmes est cruciale, car chaque mouvement impacte l’ensemble du cube. Les solveurs chevronnés développent une intuition pour ces séquences d’actions, accélérant ainsi le processus de résolution de la croix jaune du Rubik’s Cube.

5 – Placer les arêtes de la croix jaune